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Le microscope opératoire en dentisterie et l’ergonomie

L’utilisation d’aides optiques en Odontologie est aujourd’hui incontournable pour quiconque souhaite prodiguer les meilleurs soins à ses patients. Les loupes rendent de bons services, mais ne sont pas sans défauts. Elles nécessitent une source lumineuse, une distance de travail précise et, dans la majorité des cas, impliquent une posture déficiente du praticien. Le microscope opératoire (MO) pallie ces inconvénients en procurant une vision à l’infini, une qualité d’éclairage incomparable et une position de travail confortable et sans fatigue. Une idée reçue tenace fait croire que l’usage du MO est exclusivement réservé à l’endodontie. Rien n’est plus faux, car son utilisation intéresse l’ensemble des procédures de la dentisterie. A l’ère de la dentisterie mini invasive, le fort grossissement offre au praticien une perception visuelle optimale des détails, donc une capacité accrue de sa capacité à diagnostiquer les caries débutantes ou récurrentes, ainsi que les fêlures, à distinguer les différences de colorations des tissus, à faire des préparations a minima, à affiner la qualité du polissage des restaurations, à apprécier la qualité de finition des préparations prothétiques et de l’interface matériau-dent, à régler précisément les contacts occlusaux et à mettre en œuvre bien d’autres procédures…

 A l’ère de la dentisterie mini invasive, la perception visuelle accrue des détails procurée par un fort grossissement augmente la capacité du praticien à diagnostiquer les caries débutantes ou récurrentes ainsi que les fêlures, à distinguer les différences de colorations des tissus, à faire des préparations a minima, à affiner la qualité du polissage des restaurations, à apprécier la qualité de finition des préparations prothétiques et de l’interface matériau-dent, à régler précisément les contacts occlusaux et à mettre en œuvre bien d’autres procédures…

 Bien sûr, une courbe d’apprentissage demeure nécessaire pour un travail efficace sous MO et cette étape essentielle peut décourager les utilisateurs potentiels. Malheureusement, à l’heure actuelle, il n’existe pratiquement pas d’information disponible pour permettre à chaque praticien d’être rapidement performant avec le MO et éviter par là, tâtonnements, perte de temps et parfois frustration.

Ergonomie et contraintes physiques

  • Les contraintes physiques excessives comptent parmi les causes les plus fréquentes quant au développement de troubles de l’appareil locomoteur.
  • Selon les estimations, ces troubles sont à l’origine d’un tiers de l’ensemble des journées d’absence des collaborateurs.
  • Des postes et processus de travail conçus selon les critères ergonomiques permettent d’effectuer les tâches demandées de façon sûre, efficace et moins pénible.
  • Les postes de travail adaptés aux collaborateurs et à leurs activités constituent la meilleure prévention des affections physiques d’origine professionnelle.
  • L’employeur est tenu de veiller à l’adéquation des postes de travail par rapport aux critères ergonomiques.

 

Des postes et processus de travail ergonomiques constituent des conditions essentielles pour respecter le bien-être des hommes dans l’entreprise. De plus, l’ergonomie est également synonyme d’avantages économiques. Car une configuration du travail adaptée aux besoins de l’homme implique une motivation accrue et une augmentation des performances des collaboratrices et des collaborateurs. En effet, ceux-ci se fatiguent moins vite, sont plus attentifs et commettent moins d’erreur : ils travaillent donc plus efficacement. Appliquée correctement, l’ergonomie contribue dans une large mesure à augmenter la productivité et les résultats de l’entreprise. D’après les études de la médecine du travail, les postes de travail munis de dispositifs optiques affectent surtout la colonne vertébrale, les épaules et les yeux et peuvent causer des problèmes de santé. Par rapport aux postes de travail munis d’écrans qui ont fait l’objet de nombreux débats, les collaborateurs travaillant sur des postes de travail à microscopes sont soumis à des sollicitations beaucoup plus importantes.

à réduire les risques pour la santé notamment grâce aux facteurs suivants:

• Bonne ergonomie des appareils

• Ergonomie optimale du poste de travail

• Diversification des tâches

• Pauses régulières

• Qualification adéquate du personnel

• Formations des utilisateurs

• Comportement de l’utilisateur adapté à la problématique.